Après Nancy, Marseille. Deux équipes a priori « pas mauvaises » de ligue 1 sorties par un club de CFA2 qui joue en ce moment sa relégation en championnat. Hormis la victoire du petit David face à une paire de Goliaths, dont les médias vont nous rabâcher les oreilles dans un peu moins de huit heures, je parle de cet évènement pour quatre raisons différentes :
- J’habite à Carquefou. Rien qu’avec l’effervescence qui régnait en ville, il fallait que je fasse le point n°2, histoire de ne pas rater un bon moment de mon séjour ici.
- Donc, deux, j’ai écouté le match, alors que moi et le foot, c’est une grande histoire de non-amour. Mais j’aime bien les histoire de combats épiques dans des temples légendaires. Peut-être le côté rôliste...
- J’ai eu tout à l’heure des klaxons de victoire dans la rue. Carquefou est une ville résidentielle et plutôt aisée. De surcroît, dans mon quartier, je suis un des rares à tirer la moyenne d’âge vers le bas. Alors des pouêt-pouêt, je n’en ai jamais en journée, et je ne pensais vraiment pas en avoir de nuit, même ce soir. Hé bien si.
- Et le quatre... Bah, écoutez-le le quatre et si après vous pensez que Patrick Sébastien est président du club, c’est que vous êtes aussi méchants que moi !
Et pour être honnête au moins une fois :
5. Ya pas à chier, la coupe de France, c’est toujours du beau spectacle.
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